Grosse, je devrais dire la plus grosse, journée de travail
depuis mon arrivé ici à Poptun. Le fun dans cette journée, c’est que notre
travail paraît.
Les douze colonnes principales sont installées et six sont
coulées dans le ciment. Beaucoup de travail outre ces fameuses colonnes, voyage
de pierres, voyage de poche de ciment et surtout préparation du ciment à la
main. La quantité est trop grande pour utiliser un mélangeur, nous brassons 10
poches à la fois.
Même si physiquement ce fut très demandant, c’est la journée
dont je suis le plus satisfait.
Ça avance et ça paraît…
À demain et merci à vous tous.
Notre cadeau reçu samedi, les premiers de nos 10 voyages de terre pour le remplissage, il faudra se relever d'environ un mètre.
Les six premières colonnes installées.
On installe les dernières avant de couler le ciment.
C'est de l'ouvrage de bras ça aussi et aussi de précision.
Nous y voici, brassage de 10 poches de ciment, avec sable et pierres
Les brasseurs de la première brassée.
Il nous fallait un manche de pioche, ça été fait en moins de temps que de se rendre à la quincaillerie.
Voilà le travail terminé.
Des chaise roulante qui seront livrées bientôt.
Une nouvelle petite amie de l'association Lufecadis, Meylin Esperanza, elle est venue chercher un fauteuil roulant. Je vais lui livrer en fin de semaine car elle demeure trop loin.
La petite avec ses deux soeurs et le copain d'une d'elle.
Le transport du ciment à débuté avec des chaudières de 5 gallons, mais j'ai remédié à ça un peu plus tard...
La brouette est plus pratique et plus rapide aussi.
En plus du ciment, il faut transporter le sable et la pierre pour la préparation.
Ici un voyage de grosses pierres, le chargement et le déchargement se fait à la main. Mais ça va nous faire économiser beaucoup de ciment et las fondations seront plus solides.
Le camion de pierre.
Pour aller plus vite, nous utilisons les brouettes et les chaudières de 5 gallons.
Ça aussi c'est du travail, à +/- 90 lbs la poche, ça deviens raide un peu...
Lui, il fait ça à la journée longue, ême pas une petite grimasse. J'ai refusé le défi, mais lui il a continué.
Les enfants avec leur cerf-volant, ils ne se tannent pas...
C'est plaisant de les regarder.
Les six premières colonnes coulées dans le ciment.
C'est dans se trou avec les pattes de soutien qu'il faut placer et aligner les colonnes.
Le transport de ces lourdes colonnes
Fin de journée, six des douze colonnes sont dans le ciment, les autres le seront demain.
À DEMAIN ET MERCI D'ÊTRE LÀ.
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